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Voyage de 20 jours en Islande

Dimanche 26 juillet

De Ytra Laugaland à Varmahlið



Ce matin, une bonne surprise, le soleil à l’air de vouloir être du voyage, toutefois, des nuages restent accrochés sur les reliefs masquant les sommets environnants.


Avant de poursuivre notre périple, nous retournons faire une petite visite à Saurbæjarkirja, qui est une des six églises de tourbe subsistant en Islande.


Nous nous arrêterons également à la petite église de Grund, un peu atypique avec son clocher surmonté d’un bulbe style byzantin.


A la sortie de Hrafnagil, nous faisons une halte histoire de retrouver notre âme d’enfant en visitant Jólagarðurinn, la maison du Père Noël.

La maison entièrement rouge, flanquée d’une tour blanche semble faite de biscuits et de confiseries.

A l’intérieur, un feu crépite dans une cheminée. Une fois entré, vous êtes assailli de toute part par le monde magique de Noël, Il y a une multitude de décorations en provenance du monde entier ainsi des diverses pièces d’artisans locaux.

Mais faites attention à ne pas vous aventurer trop loin, Grýla n’est pas loin et vous surveille.

Dans la tour se trouve un immense calendrier de l’aven.

Nous n’avons pas rencontré notre bon vieux Père Noël, mais il ne devait pas être loin, puisque ses vêtements séchaient sur un fil.


Nous traversons de nouveau Akureyri  A la sortie de la ville nous prenons la 82 en direction de Dalvik. La route longe l’Eyjafjörður, on aperçoit au loin l’île de Hrisey et les sommets de Latraströng encore encapuchonnés de nuages.


Dalvik est un port de pêche et commercial. C’est d’ici que part le ferry Sæfari qui dessert l’île de Grimsey.


Quelques kilomètres après Dalvik, la route surplombe la cascade de Migandifoss qui se jette dans la mer.


Après avoir passé un tunnel, nous arrivons à Ólafsfjörður, autre petit port de pêche. Le village parait complètement endormi, il n’y a aucune activité, pas un seul bateau dans le port. Seule une myriade d’oiseaux qui se disputent quelques poissons.


Nous quittons la 82 pour suivre la nouvelle route 76, qui permet de rejoindre par deux tunnels le port de Siglufjörður.

A la sortie du premier tunnel long de 7 kilomètres, on aboutit près du lac de Héðinsfjarðarvatn, qui se trouve au bout du fjord de Héðinsfjörður, sur lequel on a un très joli point de vue. Le site est assez sauvage.

Le second tunnel, long de 3.7 kilomètres débouche sur le fjord de.Siglufjörður.


La ville s’est développée autour de l’industrie du hareng, devenant le principal port du pays avant le brusque déclin entrainé par la disparition de l’espèce des eaux islandaises.

Témoin de cette époque glorieuse, le Musée de l’ère du hareng retrace cette glorieuse période où la ville comptait près de 10.000 habitants.

Le Musée est composé de trois bâtiments. Le premier abrite le bureau où étaient distribuées les payes, ainsi que des documents d’archives. Dans un coin est projeté un film qui permet de se rendre compte de l’activité qui animait la ville.

A l’étage, se trouvent les dortoirs des femmes qui travaillaient à la transformation du poisson.

L’atmosphère est vraiment bien reconstituée, on a presque l’impression qu’elles vont revenir d’une minute à l’autre, une fois leur travail terminé.

Le deuxième bâtiment abrite différents bateaux, divers équipements pour la pêche et la reconstitution d’un vestiaire et d’un atelier de pêcheur.

Si l’envie vous prend, vous pouvez même vous imaginer capitaine d’un jour, l’accès aux bateaux étant libre.

Le troisième bâtiment abrite les différentes machines utilisées dans la transformation du poisson. Tout est très bien expliqué.


Nous poursuivons la route 76 qui fait le tour de la péninsule.


A Hofsós, nous nous arrêtons à côté de la piscine qui domine la baie, pour découvrir la petite crique de Staðarbjargarvík, qui présente de belles colonnes de basalte et abriterait les elfes de la région.


Un peu plus loin, une courte piste conduit vers la vieille église en tourbe de Grafarkirkja. Construite à la demande de Gísli Þorlaksson, évêque de Hólar à la fin du 17e siècle, c’est la plus ancienne des églises d’Islande et la seule à présenter un fronton sculpté, œuvre du sculpteur Guðmundur Guðmundsson. Déconsacrée en 1765 sur ordre du roi du Danemark, elle fut  longtemps utilisée comme remise à outils, avant d’être entièrement restaurée par le Musée National en 1950 et être de nouveau consacrée en 1953.


Un peu avant Varmahlíð, nous rejoignons la route N°1.


Ce soir nous dormons au camping de Varmahlíð. Celui-ci est situé un peu à l’écart de la ville, au sommet d’une colline, au milieu d’une petite forêt. Le site est très agréable et les sanitaires sont bien entretenus. Il y a également une machine à laver séchante à disposition.


Kilométrage du jour : 239 km

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