Voyage de 7 jours en Islande

Vendredi 09 mars

De Grundarfjörður à Keflavik

Pour notre dernière journée, le ciel est encore clément et la soleil est toujours au rendez-vous avec quelques nuages. La température s'est un peu adoucie et il n'y a pas un souffle de vent.

C'est avec regret que nous quittons nos hôtes et notre cottage.

Nous traversons une dernière fois la péninsule par la route 56.

Nous faisons le détour jusqu'à Landbrotalaug. Cette fois nous avons plus de chance, le site est désert.

C'est avec plaisir que nous profitons de ce bain au milieu de la nature. Un nouveau véhicule arrivant, nous cédons la place et reprenons notre route.

Plutôt que de couper par le tunnel sous l'Hvalfjörður, nous décidons de profiter du beau temps et de faire tranquillement le tour du fjord par la route 47.

Les paysages sont splendides, les sommets environnants sont couvert de neige..

Au fond du fjord, la cascade de Paradisarfoss est encore prise par la glace, comme celle de Fossárétt un peu plus loin.

L'accès à la source chaude située sur les rives du fjord est maintenant fermé par une barrière, sans doute un effet de l'accroissement du nombre de touristes en Islande.

Nous traversons Reykjavik sans nous arrêter et rejoignons directement Keflavik où nous devons passer notre dernière nuit.

Nous allons faire un petit brin de toilette au véhicule, à cette saison, la plupart des stations de lavage gratuites étant fermée, nous consultons le site lodur.is pour connaître la station payante la plus proche.

Puis, nous allons rendre visite à la géante des montagnes, cachée dans sa grotte près du port de Grof, mais il se fait tard et celle-ci a déjà fermé sa porte.

Nous rejoignons donc la guesthouse Svitan qui nous accueille ce soir.

Kilométrage du jour : 265 km

Le lendemain, à notre réveil, nous avons la surprise de découvrir qu'une couche de neige  épaisse d'une vingtaine de centimètres recouvre la ville.

Après avoir déneigé le véhicule, nous prenons la direction de l'agence de location. Il est encore tôt et les rues de Keflavik ne sont pas encore déneigées, de même les derniers kilomètres pour rejoindre l'agence. Le 4x4 est bien utile.

La restitution du véhicule est rapide, ensuite une navette nous dépose à l'aéroport.

La neige recouvre toutes les pistes, les engins de déneigement sont à l’œuvre.

Une fois en salle d'embarquement, on nous annonce un retard de 40mn, puis d'une heure et finalement c'est avec un peu plus de trois heures de retard que nous pourrons décoller.